La récente suppression de l’aide metropole Nice voiture electrique a créé un choc parmi les résidents et les commerçants. Cette aide, qui favorisait l’adoption de moyens de transport écoresponsables, s’ajoutait aux dispositifs de l’État, et sa disparition soudaine soulève des questions sur l’avenir de la mobilité durable à Nice.
Le 30 juin, la Métropole de Nice a abruptement mis fin à ses aides pour l’acquisition de véhicules électriques, qu’il s’agisse de voitures, scooters ou vélos, créant une onde de choc. Ces aides metropolitaines à l’achat, allant jusqu’à 5.000 euros pour une voiture électrique et 25% du prix, plafonné à 400 euros, pour un scooter ou un vélo, étaient en vigueur depuis 2011.
La Métropole de Nice offrait ces incitations financières pour encourager l’adoption de moyens de transport à faibles émissions, complétant ainsi les aides de l’État. Malheureusement, ces primes ne seront pas renouvelées en 2023, au moment où les tarifs des transports en commun connaissent une augmentation.
Impact sur les résidents et commerçants locaux
Jean-Yves, un résident de Nice, est un exemple parmi d’autres qui ont ressenti l’impact de cette décision. Il envisageait de profiter de cette aide metropole Nice voiture electrique pour franchir le pas vers la mobilité verte mais a appris son abolition au moment de finaliser son achat. Les commerçants locaux, comme Florian d’EuroScoot Électrique, déplorent également ce retrait soudain des aides, qui affecte non seulement les consommateurs mais aussi leurs affaires.
Alors que la Métropole se retire, l’État, quant à lui, continue de s’engager en faveur de la transition écologique, augmentant ses aides directes et incitant davantage à la conversion écologique. La Métropole de Nice justifie la cessation de ses aides par cette augmentation des subventions étatiques, laissant ainsi les résidents et commerçants perplexes et déçus.